Femme Bcbg, Escorte, Non, Pute… (125)

• Allo Christine c’est Livia, n’oublie pas que cette après-midi tu as cours de conduite dans le bois de Vincennes.

C’est au moment où je sors du sex-shop à deux pas de ma voiture que Livia m’appelle.

• J’y pense, je serais à l’heure je veux passer mon permis le plus vite possible.
• Veux-tu progresser plus vite ?
• Plutôt deux fois qu’une, tu as une proposition à me faire.
• Je vais chez moi à Honfleur, plus précisément à Villerville, je pars vendredi à 17 heures et je reviens dimanche soir, je t’emmène et nous sortirons faire de la moto le soir à la tombée de la nuit.
• Sans permis ?
• Ma maison donne sur la mer, la route côtière passe devant et il y a une descente pour les bateaux à moins de 200 mètres donne sur la plage où nous pourrons rouler sans voir le moindre promeneur alors les flics encore moins.
Tous les ans je m’entraîne pour le Touquet, on va s’amuser.
• Je veux bien, mais si pour aller là-bas tu respectes les limitations de vitesse.
• Juré.
• Viens à l’institut je laisserais ma voiture.

Je récupère cette même voiture et je rejoins l’institut dont je viens de parler.
Je suis contente, les deux jours vont calmer mon stress avant le départ pour Moscou, prendre un grand bol d’air en bord de mer me fera du bien.
Il devient urgent de trouver un gîte pour Aliou car il est impossible que je le laisse avec les deux petites, laisser le loup dans la bergerie c’est prendre un risque surtout avec marraine qui est amoureuse et qui risque de lever sa garde.

• Bonjours madame que voulez-vous, vous avez rendez-vous ?
À c’est vous Christine, vous êtes en retard, la patronne vous a viré et m’a embauché à votre place, vous pouvez passer à la comptabilité toucher votre solde.
• Si je perds ma place mademoiselle Ophélie, je vais me trouver à la rue et je serais obligé de vendre mon corps pour survivre, ayez pitié de moi.



Nous tombons dans les bras l’une de l’autre, les filles éclatent de rire, il est temps que nous trouvions l’autre institut car surtout avec les travaux c’est un peu le boxon surtout pour les clientes mais qui comprennent que c’est dans leur intérêt à long terme il faut savoir faire abstraction des difficultés.

• Bonjour Christine, cette employée vous a-t-elle manqué de respect.
• Oui mademoiselle, êtes-vous nouvelle ici, votre prénom ?
• Maman m'a appelé Katia, voulez-vous que je m’occupe de vous ?
• Quelle est votre spécialité ?
• Les caresses sur les chattes des jolies filles comme vous, venez une cabine vient de se libérer.
• Christine te voilà, j’aime bien tes petites, surtout depuis les vacances de rêves que tu nous as faits passé mais entre les travaux et elles, je crois que je vais exploser.
• Viens Ophélie, laissons ces vieilles rombières entre elles, je connais un petit café où un beau mac nous attend.

Katia me regarde et me tire la langue comme une petite fille peu sage.

• Et faire les boutiques du quartier, aimeriez-vous ?

Ophélie met ses mains dans son jean et retourne les poches.

• 10 € à peine deux cafés dans ce quartier.
• Et si je vous prête cette carte, croyez-vous qu’elle sera suffisante ?
• Merci Christine, elle va chauffer.
• Tout doux Katia, j’ai les moyens mais cette carte me sert simplement pour éviter mes achats compulsifs, la dernière fois je l’ai fait chauffer pour les soldes et je l’ai rechargé à hauteur de 5 000 €, je te note le code.
• Je crois que je vais aller voir mon mac, lui il me donne des baffes mais il est plus généreux.

C’est le moment ou sans que nous l’ayons vu une cliente sort d’une cabine en peignoir pour aller vers les UV, elle nous regarde d’un drôle d’air, j’essaye de rattr le coup comme nous l’avions fait avec Vi et la sauce suprême.

• Katia arrête de regarder des films à la télé, si tu étais sous la contrainte d’un mac tu nous parlerais autrement.


Katia sur un signe de tête d’Ophélie remarque la cliente.

• Merci et pardon marraine, prosti, vendre son corps à des hommes pour de l’argent sous la contrainte d’un homme se doit être affreux,

Je me reprends, je vais l’amener dans le milieu des escortes, je me souviens que pour moi la première fois ou sans le savoir Valérie m’a fait coucher avec un homme et qu’au matin je me suis réveillée des billets à mes côtés c’est le mot de pute qui m’est venu aux lèvres.

• Bonjour à tous, on m’appelle je suis là.

Mince Fabienne, toujours égale à elle-même depuis que je l’ai décoincé vient d’entrer.

• Non Christine pas elle.

Elle nous saute au cou, Ophélie donne son sac à Katia glisse le code de la carte et elles sortent.

• Ouf, deux de moins.
• Pas d’inquiétude, nous partons dans cinq minutes.
• Tu me rassures, j’ai cru que j’allais devenir folle.

Odile m’embrasse au coin des lèvres me montrant l’amitié complice qu’il y a entre nous.

• Bonjour à tous, Christine tu m’as demandé de venir.

C’est Illy qui arrive dans un tailleur qui lui va à ravir.

• Odile fait visiter l’institut à nos deux amis je dois parler à Véronique.
• Oui ma belle, c’est ma pose avant ma prochaine cliente, je vais les faire visiter, Véronique est à l’étage avec Alain ils regardent l’implantation d’une salle.

Je vais à l’étage et je parle à Véronique.

• Où est Aliou, je suis sans cliente pendant une demi-heure ?
• Je suis folle mais je l’ai laissé à un endroit pour éviter qu’il vienne dans ce noeud de vipères.
• Dommage.

Encore une qui apprécie le jeune homme, j’ai fait une bonne recrue, je lui explique ce que j’attends et je descends rejoindre les trois jeunes femmes que j’ai laissées ensemble, personne.
Je longe les cabines et j’entends parler plusieurs clientes entre elles dans la cabine 2.

• Vous êtes là, Fabienne pourquoi es-tu nues sur cette table de massage et qu’Illy te caresse les seins pendant qu’elle a l’autre sur ta chatte.

• Détrompe-toi Christine Odile était en train de me montrer comment masser les clientes et a été appelée par Marie-Ange dans une autre cabine, elle revient et je mets en pratique les premiers gestes qu’elle m’a appris.
• Tu es bête Illy, il faut savoir profiter des situations surtout quand tu as une belle salope sous la main regarde.

Et dire que ces deux amies viennent de se connaître, je m’approche et je pose mes lèvres sur ses grandes lèvres et son mont de Vénus épilées comme moi au laser.

• As-tu fait ta deuxième séance ?
• Oui deux heures après-toi, j’ai téléphoné à Fred et elle m’a dit que tu avais rendez-vous avant moi.
• Lui as-tu téléphoné ?
• Oui, ils étaient de passage Fred avait un enregistrement aux Buttes-Chaumont et j’ai passé la soirée avec eux.

Notre belle chienne écarte ses jambes et le petit bout de langue rose qu’elle me fait voir se faufile au centre du corps que Fabienne se sert de plus en plus depuis qu’elle a quitté l’éducation nationale.

• Oh ! Christine, au secours, notre amie suce divinement, elle m’a dit qu’elle était lesbienne et voudrait que nous nous revoyions.

Je prends les cheveux d’Illy que je tire en arrière assez rudement.

• Illy tu es indécrottable, je croyais que tu étais l’autre moitié de Madeleine.
• Christine elle allait me faire jouir, j’adore Madeleine, surtout son café mais là tu s.
Mais c’est toi qui m’as dit que je devais avoir une vie pleine d’imprévue, la chatte de Fabienne me fait envie, elle est mariée et semble aimer le moment que nous nous accordons.

Je suis folle, je connais la façon dont Illy à l’habitude de s’accaparer le moindre vagin qui passe à sa portée, je vous ses yeux presque en larmes, il est vrai que je lui tire sur la tignasse sans ménagement aussi je la plaque sur la chatte de Fabienne pour qu’elles finissent son premier cours de massage surtout qu’Odile nous rejoint.

• Christine, Valérie vient d’arriver avec Vladimir et voudrait te parler, elle est au bureau.

• Fabienne dépêche-toi de prendre ton pied, départ dans un quart d’heure.

Je rejoins Valérie, en sortant j’embrasse Vladimir qui a remplacé ma petite copine Ophélie à l’accueil.

• Bonjour Valérie, tu veux me voir.
• Oui, Odile m’a dit que tu avais fait venir Fabienne et Illy ici, que me prépares-tu.
• Tu me connais bien, je t’explique…

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